En Francia, 1916, ¿un soldado que fue inválido fuera del ejército, por ejemplo, como amputado, todavía obtendría su paga militar?

En Francia, la ley que proporcionaba a los ex militares una pensión del ejército no entró en vigor hasta 1919, por lo que si los soldados heridos no podían luchar, ¿de qué vivían?

En términos generales (es decir, sin mirar específicamente a Francia en 1916), si no está en condiciones de continuar sirviendo, es expulsado del ejército como "discapacitado" y tiene que seguir viviendo una vida civil. Puede o no obtener un estipendio o ayuda para reintegrarse a la sociedad en general. El término francés para estos veteranos discapacitados es invalide de guerre .

Respuestas (1)

Aquí hay una respuesta parcial.

Petite et Grande histoire du CPMIVG dice que la ley de 1919 no fue la primera ley aprobada en Francia, ni la última.

Si ces deux droits à « Reconnaissance » et « Réparation » – qui sont toujours, aujourd'hui, les piliers porteurs du Code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre – n'avaient cessé d'évoluer depuis François 1er, avec quelques date jalons plus ou moins connues (édit de Louis XIV du 24 février 1670 importante construcción des Invalides à Paris, loi du 2 août de l'assemblée constituante et décret du 22 août 1790, lois des 11 et 18 avril 1831), c' est bien la violencia de cette première guerre mondiale qui est à l'origine de la construction d'un véritable système organisé autour de la « Dette » de la Nation, d'abord envers ceux qui ont été atteints dans leur chair ou leur vie parce qu'ils portaient ses armes (militares et assimilés) mais également envers ses victimes civiles (de guerre et aujourd'hui du terrorisme),sans oublier les familles des uns et des autres.


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L'entraide associative entre blessés, déjà existante pendant le conflit, connaît une très forte dynamique dans l'après-guerre. Unions d'anciens combattants, d'aide aux blessés, de gueules cassées, sont très présentes sur le terrain public et politique pour faire entender leurs revendications. Compensation financière, réparation des dommages subies, plein emploi, et adquisicion de un appareillage adapté constituyente leurs principales doléances.

L'État français, redevable envers ces hommes sacrifiés, tente alors de suppléer à leurs differentés. Dès 1916, une loi institue des «emplois réservés» dans les Administrations pour les militaires réformés pour infirmités contractées pendant la guerre. La même année, l'Office national des mutilés et réformés de guerre est mis sur pied. Dédié à leur réinsertion professionnelle, il subventionne des centres de rééducation tournés vers l'apprentissage de métiers craftaux ou agricoles. En 1919, ils obtiennent une pension d'invalidité. L'Office, prémice de l'actuel ONAC, n'aura dès lors de cesse de rendre hommage et de reconnaître l'engagement, le sacrificio, la souffrance de ces milliers de soldats qui ont combattu pour la liberté de la France.

En resumen, la atención estuvo a cargo del Estado y se complementó con ayuda local (de las comunas, es decir, alcaldes), organizaciones como la cruz roja y personas que ofrecieron voluntariamente mano de obra, bienes y vivienda; los heridos fueron alojados en hospitales pero también en escuelas, castillos, ayuntamientos, conventos; y normalmente tendrían sus propias familias también.

A partir de 1916 hubo trabajos reservados para los inválidos que podían trabajar (solo puedo suponer que se atendía a los inválidos que no podían trabajar).


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La situación du marché du travail invitait également à privilégier l'insertion professionnelle à l'assistance. Pendant la guerre, la pénurie d'hommes rendait indispensable la réintégration des mutilés, soit au front, soit à l'arrière, dans les plus brefs délais. La mise en application par l'État du triptyque – rééducation fonctionnelle, rééducation professionnelle et réemploi – dans l'hôpital militaire du Grand Palais et dans les asiles Vacassy et de Saint-Maurice répondait à cet objectif. Beaucoup de mutilés se réadaptent ainsi ; d'autres, plus nombreux encore, se familiarisent avec une nueva profesión dans les ateliers des industriels qui acceptent d'assurer cette formación. Mais avec la fin du conflit, l'insertion sociale des mutilés de guerre devient plus difficile.

Así que durante la guerra hubo escasez de mano de obra: y oportunidad, demanda, para el reciclaje y el trabajo. Fue después del final de la guerra que el mercado laboral se volvió más difícil, se inundó de personas que regresaban de la guerra y los empleadores estaban menos entusiasmados con la contratación de heridos.

También una ley aprobada en 1916 creó algunos puestos de trabajo reservados en el sector público:

La ley del 17 de abril de 1916, s'inscrivait dans cette démarche. Celle-ci instituait, aux anciens militaires réformés ou retraités par suite de blessures ou d'infirmités contractées durant la guerre, des «emplois réservés» dans les Administrations publiques. Cette loi a été complétée par les lois des 30 janvier 1923 et 21 juillet 1928, puis étendue par la loi du 26 octobre 1946 aux victimes civiles de la guerre de 1939-1945 et élargie aux entreprises nationalisées par la loi du 19 août 1950.